JARRY Alfred
(Laval 1873 - Paris 1907)
Albert Samain (Souvenirs)
Luogo: Paris
Editore: Victor Lemasle
Stampatore: Imprimerie A. Lanier Auxerre-Paris
Anno: 1907 (maggio)
Legatura: brossura
Dimensioni: 18,4x12 cm.
Pagine: pp. 29 (3)
Descrizione: copertina con titoli in nero su fondo giallino, 4 pagine f.t. con la riproduzione in fac-simile di una lettera di Albert Samain del 18 dicembre 1899. Ultimo libro pubblicato in vita dall'autore, successivo a «Le Moutardier du Pape». Esemplare nella tiratura ordinaria. Prima edizione.
Bibliografia: N. D.
Prezzo: € 300ORDINA / ORDER
Di questa edizione, oltre alla tiratura ordinaria, esiste una tiratura di 40 esemplari numerati su Japon e Hollande non dichiarata.
"Victor Lemasle, célèbre marchand d'autographes du quai Malaquais ne paraît avoir édité que ce mince volume. On l'annonça, discrètement, le 3 mai 1907. Jarry au repos à Laval, n'avait pas six mois à vivre." («Cahiers du Collège de Pataphysique 10. Expojarrysition», Paris, Collège de Pataphysique, 1953: 455).
"Et la mort, amante désirée et tant de fois chantée, l’enveloppa si tendrement de son manteau gris perle que « nul, dit M. Louis Denise, nul même de ceux qui l’aimèrent le plus, ne sut que Samain mourait…: «Et son destin secret eut cette fin secrète qu’il se rêvait, car il fut heureux…». La mort, amante désirée… de ceux qui savent si bien qu’en eux tout ne va pas mourir…: «Oh ! écoute la symphonie; / Rien n’est doux comme l’agonie / De la lèvre à la lèvre unie / Dans la musique indéfinie…»" (pag. 29).
"Victor Lemasle, célèbre marchand d'autographes du quai Malaquais ne paraît avoir édité que ce mince volume. On l'annonça, discrètement, le 3 mai 1907. Jarry au repos à Laval, n'avait pas six mois à vivre." («Cahiers du Collège de Pataphysique 10. Expojarrysition», Paris, Collège de Pataphysique, 1953: 455).
"Et la mort, amante désirée et tant de fois chantée, l’enveloppa si tendrement de son manteau gris perle que « nul, dit M. Louis Denise, nul même de ceux qui l’aimèrent le plus, ne sut que Samain mourait…: «Et son destin secret eut cette fin secrète qu’il se rêvait, car il fut heureux…». La mort, amante désirée… de ceux qui savent si bien qu’en eux tout ne va pas mourir…: «Oh ! écoute la symphonie; / Rien n’est doux comme l’agonie / De la lèvre à la lèvre unie / Dans la musique indéfinie…»" (pag. 29).
